Avec Simon Keenlyside (Don Giovanni), Bryn Terfel (Leporello), Anna Caterina Antonacci (Dona Elvira), Ildebrando D'Arcangelo (Masetto).
Dir. : Claudio Abbado - Chorus and chamber orchestra of Europe.
Enregistré au Théâtre de Ferrare - 1993.
Note : *****
Malgré une mise en scène d'un dépouillement extrême, d'un décor d'une sobriété clinique, une version où le jeu d'acteurs se mêlent avec brio au chant.
Don Giovanni - Mozart
Avec Simon Keenlyside, Kyle Ketelsen, Marina Poplavskaya, Joyce Di Donato, Ramon Vergas.
Dir. : Charles MacKerras
Enregistré au Royal Opera House de Londres en 2008.
Note : *****
Une distribution au firmament, et une mise en scène spectaculaire ! Des interprétations à la fois éblouissantes, décomplexées et absolument délicieuses.
Eugene Onegin, de Piotr Illich Tchaïkovsky
d'après Pouchkine
Avec Mariusz Kwiecen, Tatiana Monogarova
Nouvelle mise en scène du Bolshoï
Enregistré au Palais Garnier en 2009.
Note : **
Version morne, voire absurde, chanteurs statiques et un metteur en scène a priori à côté de la plaque...
Eugene Onegin, de Piotr Illich Tchaïkovsky
d'après Pouchkine
Avec Simon Keenlyside, Krassimira Stoyanova et Pavol Breslik.
Dir. : Robin Ticciati
Enregistré au Royal Opera House en 2009
Note : ***
Très belles idées, direction d'acteurs/chanteurs excellente, mais interprètes malheureusement trop âgés pour leur rôle respectif...
The Tempest, de Thomas Adès
d'après Shakespeare
Avec Simon Keenlyside, Audrey Luna, Isabel Leonard
Dir. : Thomas Adès
Enregistré au Metropolitan Opera de New-York en 2011.
Note : ***
Première tentative avec l'opéra contemporain, et tentative ardue ! Musique extrêmement difficile d'accès, mais une mise en scène éblouissante, et des rôles puissants, centrés autour d'un Prospero magnifique, incarné par Keenlyside.
Il Trovatore, de Giuseppe Verdi
Avec Anna Netrebko, Gaston Rivero, Placido Domingo.
Dir : Daniel Barenboim
Enregistré à la Staatskapelle de Berlin (2013)
Note : **
Il est peut-être sévère de donner uniquement 2 étoiles à une telle version, et ce n'est certainement pas en raison de son éblouissante distribution. Hélas, la mise en scène volontairement inspirée de l'univers de Tim Burton (et particulièrement à son Alice aux Pays des Merveilles), les choix volontairement absurdes dans l'interprétation des personnages ne rendent vraiment pas justice à la puissance de leurs interprètes, Domingo en tête, extraordinaire en Comte de Luna...
Malgré une mise en scène d'un dépouillement extrême, d'un décor d'une sobriété clinique, une version où le jeu d'acteurs se mêlent avec brio au chant.
Don Giovanni - Mozart
Avec Simon Keenlyside, Kyle Ketelsen, Marina Poplavskaya, Joyce Di Donato, Ramon Vergas.
Dir. : Charles MacKerras
Enregistré au Royal Opera House de Londres en 2008.
Note : *****
Une distribution au firmament, et une mise en scène spectaculaire ! Des interprétations à la fois éblouissantes, décomplexées et absolument délicieuses.
Eugene Onegin, de Piotr Illich Tchaïkovsky
d'après Pouchkine
Avec Mariusz Kwiecen, Tatiana Monogarova
Nouvelle mise en scène du Bolshoï
Enregistré au Palais Garnier en 2009.
Note : **
Version morne, voire absurde, chanteurs statiques et un metteur en scène a priori à côté de la plaque...
Eugene Onegin, de Piotr Illich Tchaïkovsky
d'après Pouchkine
Avec Simon Keenlyside, Krassimira Stoyanova et Pavol Breslik.
Dir. : Robin Ticciati
Enregistré au Royal Opera House en 2009
Note : ***
Très belles idées, direction d'acteurs/chanteurs excellente, mais interprètes malheureusement trop âgés pour leur rôle respectif...
The Tempest, de Thomas Adès
d'après Shakespeare
Avec Simon Keenlyside, Audrey Luna, Isabel Leonard
Dir. : Thomas Adès
Enregistré au Metropolitan Opera de New-York en 2011.
Note : ***
Première tentative avec l'opéra contemporain, et tentative ardue ! Musique extrêmement difficile d'accès, mais une mise en scène éblouissante, et des rôles puissants, centrés autour d'un Prospero magnifique, incarné par Keenlyside.
Il Trovatore, de Giuseppe Verdi
Avec Anna Netrebko, Gaston Rivero, Placido Domingo.
Dir : Daniel Barenboim
Enregistré à la Staatskapelle de Berlin (2013)
Note : **
Il est peut-être sévère de donner uniquement 2 étoiles à une telle version, et ce n'est certainement pas en raison de son éblouissante distribution. Hélas, la mise en scène volontairement inspirée de l'univers de Tim Burton (et particulièrement à son Alice aux Pays des Merveilles), les choix volontairement absurdes dans l'interprétation des personnages ne rendent vraiment pas justice à la puissance de leurs interprètes, Domingo en tête, extraordinaire en Comte de Luna...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire