Résumé
Dans un village reculé d’Angleterre, le château de Wildfell Hall, un bâtisse antique et pratiquement en ruine, vient d’être louée à une jeune veuve, Helen Graham et son fils.
S’éloignant farouchement du monde, se tenant dans une solitude singulière, Helen devient peu à peu l’objet de toutes les discussions et de tous les commérages.
Gilbert Markham, un honnête fermier du voisinnage parvient malgré tout à gagner l’affection d’Arthur et peu à peu, de sa mère, dont il tombe bientôt éperdument amoureux. Helen a cependant un bien lourd secret à porter, auquel elle devra un jour ou l’autre faire face…
Mon avis
Mon avis ne se reportera qu’à la mini-série de la BBC réalisée en 1996 par Mike Barker, d’après le roman éponyme d’Anne Brontë que je n’ai malheureusement pas encore terminé.
Cette histoire retrace la lente descente aux enfers d’une jeune femme pleine d’illusions, plongée dans les tourments que lui impose un mari frivole, infidèle et alcoolique… Ce récit difficile et tragique de l’angoisse, de l’enfermement, de la désillusion d’une femme, devant combattre seule les mille démons de son mari, est particulièrement poignant. En regardant cette adaptation, je ne cacherai que j’ai ressenti un certain malaise, devant la détresse, l’incompréhension de la bonne société victorienne qui admet qu’une femme puisse subir patiemment les injures et les souffrances pour la simple et bonne raison qu’elles lui sont infligées par son époux.
On retrouve dans cette magnifique série Tara Fitzgerald, qui excelle dans les rôles de femme glaciale et imperturbable, Toby Stephens (le merveilleux Mr Rochester de la nouvelle adaptation de Jane Eyre) dans le rôle de Gilbert Markham, et l’excellent Rupert Graves en Arthur Huntingdon, brillant, comme toujours, en mari alcoolique et libertin, inquiétant et détestable à souhait. Malgré une mise en scène très sombre et très froide, je me suis régalée en regardant ces épisodes, je les conseille donc absolument à tous les adorateurs des Brontë !
Dans un village reculé d’Angleterre, le château de Wildfell Hall, un bâtisse antique et pratiquement en ruine, vient d’être louée à une jeune veuve, Helen Graham et son fils.
S’éloignant farouchement du monde, se tenant dans une solitude singulière, Helen devient peu à peu l’objet de toutes les discussions et de tous les commérages.
Gilbert Markham, un honnête fermier du voisinnage parvient malgré tout à gagner l’affection d’Arthur et peu à peu, de sa mère, dont il tombe bientôt éperdument amoureux. Helen a cependant un bien lourd secret à porter, auquel elle devra un jour ou l’autre faire face…
Mon avis
Mon avis ne se reportera qu’à la mini-série de la BBC réalisée en 1996 par Mike Barker, d’après le roman éponyme d’Anne Brontë que je n’ai malheureusement pas encore terminé.
Cette histoire retrace la lente descente aux enfers d’une jeune femme pleine d’illusions, plongée dans les tourments que lui impose un mari frivole, infidèle et alcoolique… Ce récit difficile et tragique de l’angoisse, de l’enfermement, de la désillusion d’une femme, devant combattre seule les mille démons de son mari, est particulièrement poignant. En regardant cette adaptation, je ne cacherai que j’ai ressenti un certain malaise, devant la détresse, l’incompréhension de la bonne société victorienne qui admet qu’une femme puisse subir patiemment les injures et les souffrances pour la simple et bonne raison qu’elles lui sont infligées par son époux.
On retrouve dans cette magnifique série Tara Fitzgerald, qui excelle dans les rôles de femme glaciale et imperturbable, Toby Stephens (le merveilleux Mr Rochester de la nouvelle adaptation de Jane Eyre) dans le rôle de Gilbert Markham, et l’excellent Rupert Graves en Arthur Huntingdon, brillant, comme toujours, en mari alcoolique et libertin, inquiétant et détestable à souhait. Malgré une mise en scène très sombre et très froide, je me suis régalée en regardant ces épisodes, je les conseille donc absolument à tous les adorateurs des Brontë !
Quelques images
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Helen Graham (Tara Fitzgerald)
Bonjour, cela ne fait que quelques moi que je découvre toutes les adaptations cinématographique des romans des soeurs bronte et j'ai 24 ans. J'ai découvet leurs ouvres à partir de 13 ans et les ai toutes lu et j'en ai certainement oubliés car j'aimes à relires mes préférés. J'ai lu, Clélie, que tu avez eu du mal à lire shirley et à finir la chatelaine de wildfell hall, a l'époque j'ai lu ces roman d'un trait et maintenant pour les relires,comme toi, je peine avec leurs lomgueurs et description. Comment s'expliquer que plus on avance en age moins on est patient? La perte de l'innocence peut-etre ou envie de plus de romantismes, envie de plus dialogues de lire nos reves de vie de femme, une sorte de barrières immaginaire d'avec le monde réelles ou simples analyse des moeurs d'une époque?
RépondreSupprimerTout cela pour dire, au sujet de la chatelaine de wildfell hall que j'en garde le souvenir haletant d'une lecture d'un journal intime trés particulier, par un jeune homme à la lueur d'une chandelle, qui m'avait tenu en haleine j'usqu'a la fin de sa propre lecture. Un trés bon roman le meilleur d'anne bronte et une adaptation télévisiuel toute à fait réussie.Mais je croie qu'il vaut mieux lire un roman avant de voir son adaptation ciné pour peu d'etre déçu ou ne pas avoir envie de s'éterniser sur le bouquin car c'est l'effet que cela m'a fait avec raison et sentiment il y a lomgtemps. olympe
Olympe,
RépondreSupprimerJ'ai découvert Shirley et la Châtelaine de Wildfell Hall qu'assez tardivement, je ne sais pas ce que j'en aurais pensé il y a dix ans... Mais il est vrai que l'imaginaire lié à l'adolescence est différent de celui de l'âge adulte. L'expérience, les sentiments évoluent, en même temps que nos aspirations... Je suis tout à fait d'accord.
En général, l'ordre dans lequel je vois le film ou que je lis le roman m'importe moins. J'ai vu Jane Eyre avant de le lire et j'ai été subjuguée par le roman parce qu'il offrait encore plus d'intensité, plus de beauté que le film (celui de 1944 du moins).
The Tenant of Wildfell Hall est un roman magnifique. As-tu lu Agnes Grey ? Je suppose que oui ^^
A bientôt !
Oui, j'ai lu Agnes Grey, je pense que c'est un histoire assez simple en définitif pour moi qui raffole des intrigues, des mystères, des retournements de situation et l'impatience que l'on ressent à vouloir lire la prochaine page(dévorer un livre). Mais je ne suis pas mauvaise critique sur ce roman car sa simplicité me laisse deux images dans la tete : les primevères et la plage. Je ressent le doux soleil du printemps et vois les tendres couleurs pastels des fleurs ainsi que le bruits des vagues et du vent un matin d'été avec la sensation de marcher dans la douceur du sable tiède.
RépondreSupprimerTout est bien qui fini bien.
Ce qui m'inpressionne le plus dans les romans des soeurs bronte, c'est que quoi quelles écrivent, elle l'écrive si bien que les images pages après pages se bouscule dans nos tetes.olympe.
Oui, l'image qu'il reste de ce roman, c'est avant tout une histoire très simple et très réaliste sur la condition de gouvernante, sans que soit ajouté un seul élément romanesque. Pour Anne Brontë qui aimait infiniment la mer, ce livre offre une description toute en douceur des paysages marins, des promenades au grand vent...
RépondreSupprimerJe viens de voir l'adaptation télévisée et, tout comme toi Clélie, j'ai beaucoup aimé. Je ne connaissais pas du tout ce récit d'Anne brontë et je ne sais donc pas si l'adaptation est fidèle au roman mais, quoiqu'il en soit, le scénario et les acteurs m'ont semblé excellents. Sans oublier la photographie du film, usant à souhait de nombreux jeux d'ombres et lumière, tout comme Helen le fait lorsqu'elle prend un pinceau en main.
RépondreSupprimerBonjour Kate !
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire sur TOWH. Tu fais remarquer les magnifiques jeux d'ombre de cette adaptation (la seule que je connaisse d'ailleurs de ce roman). Il s'agit d'un téléfilm très sombre, à l'image de l'histoire qu'il raconte. J'ai beaucoup aimé Toby Stephens et l'excellent Rupert Graves dans son rôle de mari alcoolique. Tara Fitzgerald est la froideur incarnée (parfois à outrance d'ailleurs)...
A bientôt !